Merci aux courageux et vaillants utilisateurs de la pente d'avoir bravé le froid pour continuer l'élagage de l'année dernière sur la pente nord; Les buis sur la montée de la pente sud seront enlevés plus tard. 

Vendredi 11 avril, à la suite d'une discussion rapide mais constructive quelques jours plus tôt, décision fût prise de protéger les buis contre les pyrale en les aspergeant de produits non nocifs pour l’environnement. 

Malheureusement, les chenilles avaient déjà bien progressé dans leur travail destructeur, et certains buis étaient déjà fortement atteints. 

Tous les buis entourant notre terrain, sur la pente de Theizé, ont été traités grâce à l’aide précieuse de Luc Chavant, Christian Mirabelle et moi-même. 

A refaire chaque année !

Vendredi 11 avril, à la suite d'une discussion rapide mais constructive quelques jours plus tôt, décision fût prise de protéger les buis contre les pyrale en les aspergeant de produits non nocifs pour l’environnement. 

Malheureusement, les chenilles avaient déjà bien progressé dans leur travail destructeur, et certains buis étaient déjà fortement atteints. 

Tous les buis entourant notre terrain, sur la pente de Theizé, ont été traités grâce à l’aide précieuse de Luc Chavant, Christian Mirabelle et moi-même. 

A refaire chaque année !

Vendredi 11 avril, à la suite d'une discussion rapide mais constructive quelques jours plus tôt, décision fût prise de protéger les buis contre les pyrale en les aspergeant de produits non nocifs pour l’environnement. 

Malheureusement, les chenilles avaient déjà bien progressé dans leur travail destructeur, et certains buis étaient déjà fortement atteints. 

Tous les buis entourant notre terrain, sur la pente de Theizé, ont été traités grâce à l’aide précieuse de Luc Chavant, Christian Mirabelle et moi-même. 

A refaire chaque année !

Après le café d’accueil de Coraly ; les croissants et des mufins à la banane préparées par Nicole, la quinzaine d’adhérents présents n’a pas hésité à braver une météo peu clémente pour réaliser dans une ambiance « bon enfant » un bon nettoyage de printemps sur notre plateforme de Reyrieux.
Les extrémités Nord et Est du terrain ont été débroussaillées ainsi qu’un bon coup de balais donné sous le préau par l’un de nos plus jeunes pilotes !
Un peu plus de matériel (débroussailleuse et taille haie) et quelques bras vaillants supplémentaires, nous aurait permis de finaliser ce nettoyage (Côté Ouest).
Un grand MERCI aux personnes présentes ; leurs sourire et leur motivation positive ; avec une mention particulière à nos 3 jeunes élèves pilotes ; et l’implication de leurs parents.

Après le café d’accueil de Coraly ; les croissants et des mufins à la banane préparées par Nicole, la quinzaine d’adhérents présents n’a pas hésité à braver une météo peu clémente pour réaliser dans une ambiance « bon enfant » un bon nettoyage de printemps sur notre plateforme de Reyrieux.
Les extrémités Nord et Est du terrain ont été débroussaillées ainsi qu’un bon coup de balais donné sous le préau par l’un de nos plus jeunes pilotes !
Un peu plus de matériel (débroussailleuse et taille haie) et quelques bras vaillants supplémentaires, nous aurait permis de finaliser ce nettoyage (Côté Ouest).
Un grand MERCI aux personnes présentes ; leurs sourire et leur motivation positive ; avec une mention particulière à nos 3 jeunes élèves pilotes ; et l’implication de leurs parents.

Après le café d’accueil de Coraly ; les croissants et des mufins à la banane préparées par Nicole, la quinzaine d’adhérents présents n’a pas hésité à braver une météo peu clémente pour réaliser dans une ambiance « bon enfant » un bon nettoyage de printemps sur notre plateforme de Reyrieux.
Les extrémités Nord et Est du terrain ont été débroussaillées ainsi qu’un bon coup de balais donné sous le préau par l’un de nos plus jeunes pilotes !
Un peu plus de matériel (débroussailleuse et taille haie) et quelques bras vaillants supplémentaires, nous aurait permis de finaliser ce nettoyage (Côté Ouest).
Un grand MERCI aux personnes présentes ; leurs sourire et leur motivation positive ; avec une mention particulière à nos 3 jeunes élèves pilotes ; et l’implication de leurs parents.

Nous avons au sein du club quelqu’un qui est certainement le plus âgé des modélistes de France et de Navarre. Jean Rozier, 98 printemps passés, est présent au club tous les mardi matin avec sa bande de copains pour voler, discuter, casser la croute et taper la belote.
   Il a commencé sa carrière de modéliste avant la guerre, (la seconde !) lorsqu’il était adolescent. Pendant ces temps difficiles, il était bien compliqué de se procurer les matériaux propres à la construction des modèles, mais surtout les préoccupations étaient autres. S’en est suivi le régiment et là, le passage des avions grandeurs raviva en lui ce désir de refaire de ses mains des aéronefs. Il reprit donc le vol libre pour quelques temps avant de se marier et d’avoir des enfants… pour reprendre et ne plus jamais s’arrêter. Le vol circulaire se développant rapidement, il se mit à cette discipline et allait fréquemment aussi bien sur Villefranche que sur St Etienne faisant voler toutes sortes de modèles, même des biplans.
    Lorsque la RC commença à se démocratiser et fonctionna correctement ( !) il penchait définitivement pour cette discipline qui permettait plus de liberté dans les vols. Ses débuts eurent lieu à l’ancien terrain du club ; le colombier. Il fit beaucoup de motoplaneur thermique pour ainsi retrouver le vol thermique de plaine qu’il aimait tant en vol libre. Il donna beaucoup de son temps à l’écolage, et aida ainsi un certain Patrice Garelli en culotte courte dans ses premiers vols…
    Sa pratique ne fût jamais compétitive, ce qu’il aimait c’était gérer un projet depuis le début : dessiner, construire, régler piloter des modèles, parfois originaux, mais toujours tranquilles. Par-dessus tout ce sont les modélistes qui l’ont tenu ancré à ce loisir qui n’eut pas de concurrents à part la boule Lyonnaise. Pas de pêche, de danse ou autre…
   Aujourd’hui, il est toujours passionné par ce loisir passionnant et admire les progrès qui ont été fait. Les très grands planeurs électriques l’impressionnent mais surtout toutes les figures de voltige 3D qui ne sont pas faisables en réel…. Il a fait un peu d’électrique, mais ses packs étaient sous utilisés car il ne fait qu’un vol par semaine au petit matin, quand le vent est nul. En tant d’années de carrière, il n’a jamais utilisé de solar, toujours du kraft collé à la colle à bois diluée et se souvient de n’avoir perdu que 3 modèles de vol libre malgré de très nombreux vols. Il regrette une certaine ambiance où les liens intergénérationnels étaient plus présents mais savoure toujours les bons moments avec ses copains… Si des « petits jeunes » souhaitent apprendre à entoiler un avion vite et pas cher, vous savez à qui vous adresser !

Nous avons au sein du club quelqu’un qui est certainement le plus âgé des modélistes de France et de Navarre. Jean Rozier, 98 printemps passés, est présent au club tous les mardi matin avec sa bande de copains pour voler, discuter, casser la croute et taper la belote.
   Il a commencé sa carrière de modéliste avant la guerre, (la seconde !) lorsqu’il était adolescent. Pendant ces temps difficiles, il était bien compliqué de se procurer les matériaux propres à la construction des modèles, mais surtout les préoccupations étaient autres. S’en est suivi le régiment et là, le passage des avions grandeurs raviva en lui ce désir de refaire de ses mains des aéronefs. Il reprit donc le vol libre pour quelques temps avant de se marier et d’avoir des enfants… pour reprendre et ne plus jamais s’arrêter. Le vol circulaire se développant rapidement, il se mit à cette discipline et allait fréquemment aussi bien sur Villefranche que sur St Etienne faisant voler toutes sortes de modèles, même des biplans.
    Lorsque la RC commença à se démocratiser et fonctionna correctement ( !) il penchait définitivement pour cette discipline qui permettait plus de liberté dans les vols. Ses débuts eurent lieu à l’ancien terrain du club ; le colombier. Il fit beaucoup de motoplaneur thermique pour ainsi retrouver le vol thermique de plaine qu’il aimait tant en vol libre. Il donna beaucoup de son temps à l’écolage, et aida ainsi un certain Patrice Garelli en culotte courte dans ses premiers vols…
    Sa pratique ne fût jamais compétitive, ce qu’il aimait c’était gérer un projet depuis le début : dessiner, construire, régler piloter des modèles, parfois originaux, mais toujours tranquilles. Par-dessus tout ce sont les modélistes qui l’ont tenu ancré à ce loisir qui n’eut pas de concurrents à part la boule Lyonnaise. Pas de pêche, de danse ou autre…
   Aujourd’hui, il est toujours passionné par ce loisir passionnant et admire les progrès qui ont été fait. Les très grands planeurs électriques l’impressionnent mais surtout toutes les figures de voltige 3D qui ne sont pas faisables en réel…. Il a fait un peu d’électrique, mais ses packs étaient sous utilisés car il ne fait qu’un vol par semaine au petit matin, quand le vent est nul. En tant d’années de carrière, il n’a jamais utilisé de solar, toujours du kraft collé à la colle à bois diluée et se souvient de n’avoir perdu que 3 modèles de vol libre malgré de très nombreux vols. Il regrette une certaine ambiance où les liens intergénérationnels étaient plus présents mais savoure toujours les bons moments avec ses copains… Si des « petits jeunes » souhaitent apprendre à entoiler un avion vite et pas cher, vous savez à qui vous adresser !

Nous avons au sein du club quelqu’un qui est certainement le plus âgé des modélistes de France et de Navarre. Jean Rozier, 98 printemps passés, est présent au club tous les mardi matin avec sa bande de copains pour voler, discuter, casser la croute et taper la belote.
   Il a commencé sa carrière de modéliste avant la guerre, (la seconde !) lorsqu’il était adolescent. Pendant ces temps difficiles, il était bien compliqué de se procurer les matériaux propres à la construction des modèles, mais surtout les préoccupations étaient autres. S’en est suivi le régiment et là, le passage des avions grandeurs raviva en lui ce désir de refaire de ses mains des aéronefs. Il reprit donc le vol libre pour quelques temps avant de se marier et d’avoir des enfants… pour reprendre et ne plus jamais s’arrêter. Le vol circulaire se développant rapidement, il se mit à cette discipline et allait fréquemment aussi bien sur Villefranche que sur St Etienne faisant voler toutes sortes de modèles, même des biplans.
    Lorsque la RC commença à se démocratiser et fonctionna correctement ( !) il penchait définitivement pour cette discipline qui permettait plus de liberté dans les vols. Ses débuts eurent lieu à l’ancien terrain du club ; le colombier. Il fit beaucoup de motoplaneur thermique pour ainsi retrouver le vol thermique de plaine qu’il aimait tant en vol libre. Il donna beaucoup de son temps à l’écolage, et aida ainsi un certain Patrice Garelli en culotte courte dans ses premiers vols…
    Sa pratique ne fût jamais compétitive, ce qu’il aimait c’était gérer un projet depuis le début : dessiner, construire, régler piloter des modèles, parfois originaux, mais toujours tranquilles. Par-dessus tout ce sont les modélistes qui l’ont tenu ancré à ce loisir qui n’eut pas de concurrents à part la boule Lyonnaise. Pas de pêche, de danse ou autre…
   Aujourd’hui, il est toujours passionné par ce loisir passionnant et admire les progrès qui ont été fait. Les très grands planeurs électriques l’impressionnent mais surtout toutes les figures de voltige 3D qui ne sont pas faisables en réel…. Il a fait un peu d’électrique, mais ses packs étaient sous utilisés car il ne fait qu’un vol par semaine au petit matin, quand le vent est nul. En tant d’années de carrière, il n’a jamais utilisé de solar, toujours du kraft collé à la colle à bois diluée et se souvient de n’avoir perdu que 3 modèles de vol libre malgré de très nombreux vols. Il regrette une certaine ambiance où les liens intergénérationnels étaient plus présents mais savoure toujours les bons moments avec ses copains… Si des « petits jeunes » souhaitent apprendre à entoiler un avion vite et pas cher, vous savez à qui vous adresser !

Nous avons au sein du club quelqu’un qui est certainement le plus âgé des modélistes de France et de Navarre. Jean Rozier, 98 printemps passés, est présent au club tous les mardi matin avec sa bande de copains pour voler, discuter, casser la croute et taper la belote.
   Il a commencé sa carrière de modéliste avant la guerre, (la seconde !) lorsqu’il était adolescent. Pendant ces temps difficiles, il était bien compliqué de se procurer les matériaux propres à la construction des modèles, mais surtout les préoccupations étaient autres. S’en est suivi le régiment et là, le passage des avions grandeurs raviva en lui ce désir de refaire de ses mains des aéronefs. Il reprit donc le vol libre pour quelques temps avant de se marier et d’avoir des enfants… pour reprendre et ne plus jamais s’arrêter. Le vol circulaire se développant rapidement, il se mit à cette discipline et allait fréquemment aussi bien sur Villefranche que sur St Etienne faisant voler toutes sortes de modèles, même des biplans.
    Lorsque la RC commença à se démocratiser et fonctionna correctement ( !) il penchait définitivement pour cette discipline qui permettait plus de liberté dans les vols. Ses débuts eurent lieu à l’ancien terrain du club ; le colombier. Il fit beaucoup de motoplaneur thermique pour ainsi retrouver le vol thermique de plaine qu’il aimait tant en vol libre. Il donna beaucoup de son temps à l’écolage, et aida ainsi un certain Patrice Garelli en culotte courte dans ses premiers vols…
    Sa pratique ne fût jamais compétitive, ce qu’il aimait c’était gérer un projet depuis le début : dessiner, construire, régler piloter des modèles, parfois originaux, mais toujours tranquilles. Par-dessus tout ce sont les modélistes qui l’ont tenu ancré à ce loisir qui n’eut pas de concurrents à part la boule Lyonnaise. Pas de pêche, de danse ou autre…
   Aujourd’hui, il est toujours passionné par ce loisir passionnant et admire les progrès qui ont été fait. Les très grands planeurs électriques l’impressionnent mais surtout toutes les figures de voltige 3D qui ne sont pas faisables en réel…. Il a fait un peu d’électrique, mais ses packs étaient sous utilisés car il ne fait qu’un vol par semaine au petit matin, quand le vent est nul. En tant d’années de carrière, il n’a jamais utilisé de solar, toujours du kraft collé à la colle à bois diluée et se souvient de n’avoir perdu que 3 modèles de vol libre malgré de très nombreux vols. Il regrette une certaine ambiance où les liens intergénérationnels étaient plus présents mais savoure toujours les bons moments avec ses copains… Si des « petits jeunes » souhaitent apprendre à entoiler un avion vite et pas cher, vous savez à qui vous adresser !